Actualités Géo du CNFG – Evènements

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Prix du Livre de Géographie des Lycéens et Étudiants 2024

Sélection 2024  :
  • Gilles FumeyAlexandre de Humboldt. L’eau et le feu, Double ligne, 2022
  • Raphaël Mathevet et Roméo BondonSangliers. Géographies d’un animal politique, Actes Sud, 2022.
  • Basile MichelLes quartiers culturels et créatifs, Le Manuscrit, 2022.
  • Marion Tillous (dir.), Espace, genre et violences conjugales, ce que révèle la crise de la Covid 19, GéoTraverses, 2022.
  • Nephtys Zwer (dir.), Ceci n’est pas un atlas, Éditions du commun, 2023
Inscription des participants au plus tard le 31 octobre 2023  au lien suivant :
https://docs.google.com/forms/d/e/1FAIpQLScx8Cj1QAeGaJFV4J-bO8Ibiw9QGhVR54vC2UkVx9AD3XkEbQ/viewform

Bon de commande « Un siècle de géographie française et d’histoire du Comité national »

Si l’École française de géographie s’est développée à la fin du XIXe siècle sous l’impulsion de Paul Vidal de La Blache (1845-1918), elle s’est surtout structurée par les efforts d’Emmanuel de Martonne (1873-1955) qui a animé et administré le Comité National Français de Géographie (CNFG) pendant plus de trente ans (1920- 1952). Créé au lendemain de la Première Guerre mondiale à l’initiative de l’Académie des Sciences le 7 juillet 1920, le Comité National Français de Géographie est l’institution politique officielle donnant une visibilité nationale et internationale à la discipline qui représente la communauté des géographes français auprès de l’Union Géographique Internationale (UGI), du Comité Français des Unions scientifiques internationales (COFUSI), et du Conseil international de la Science (ISC). Depuis un siècle, la géographie française n’a cessé de se développer, de se renouveler mais aussi de rayonner à travers le monde en montrant sa capacité à analyser et à comprendre les sociétés ainsi que les grands enjeux territoriaux actuels. En retraçant un siècle d’histoire du Comité National Français de Géographie à l’occasion de son centenaire en 2020, cet ouvrage revient sur les héritages, les fondements, les évolutions et les acteurs majeurs qui ont participé à l’odyssée de cette institution fédératrice mais évoque également les perspectives et les objectifs poursuivis en ce début du XXIe siècle pour mieux comprendre le monde contemporain.

Bon de commande ouvrage centenaire CNFG
Livre vendu au prix de 25,00 € (frais de port inclus pour la France). Pour passer commande, envoyez ce bordereau
rempli, avec votre règlement à l’adresse : CNFG – Institut de Géographie – 191 rue Saint-Jacques – 75005 Paris
Envoyez également un mail précisant les renseignements ci-dessous à : marc.galochet@uphf.fr
Règlement par chèque à l’ordre du CNFG
Règlement par virement bancaire IBAN : FR76 1142 5009 0008 0026 3195 889
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Soutien au laboratoire Pacte de l’étranger

*Association des géographes italiens : https://www.ageiweb.it/eventi-e-info-per-newsletter/solidarieta-a-rachele-borghi-anne-laure-amilhat-szary-e-supporto-alla-liberta-dipensiero-e-di-ricerca/

*Association des géographes espagnols : https://www.age-geografia.es/site/declaracion-de-apoyo-a-la-investigacion/

*Commission de géographie politique de l’UGI :
Statement of Solidarity with French geographers and academics

Dear colleagues,

As many academics around the world we have followed with great concern the political debate in France where members of the government, including the Minister of Education and the Minister of Higher Education, and members of the National Assembly have been attacking the social sciences and the humanities at the university and more specifically scholars working in the field of gender studies, critical race theory and postcolonial studies.

These attacks have been criticized by many official instances including the Conseil national des universités CNU (the national agency supervising the careers of academics in France and organized in disciplinary sections), the Centre national de la recherche scientifique CNRS (the National Centre for Scientific Research), the Conférence des présidents d’université CPU (the Conference of University Presidents), professional associations such as the Comité national français de géographie CNFG (the French National Geography Commission), trade unions and many collective initiatives.

These collective attacks have intensified since October. Recently we were made aware of the inadmissible attacks suffered by fellow teachers and researchers affiliated to several French universities (Angers, Grenoble, Sorbonne University, Tours and elsewhere). Geographers included.

We want to call your attention to these attacks and express our solidarity with our French colleagues and our support of the Geography Section of the Conseil national des universités (CNU) and the Comité national français de géographie (CNFG.)

Both sent a strong and clear message of support to colleagues who have been personally targeted, especially to Anne-Laure Amilhat Szary, who has been receiving countless hate messages and death threats following a mediatized conflict in which she is involved as director of the PACTE laboratory at the Université Grenoble Alpes. Anne-Laure is a political geographer and an internationally renowned border scholar. She is also a member of the steering committee of the Commission on Political Geography of the International Geographical Union.

We therefore want also to circulate and support the message of French geographers. The CNU Geography Section and the CNFG have denounced the hostile climate which has been setting in for several weeks following the remarks of the Minister of National Education in November 2020 and of the Minister of Higher Education in February 2021, unanimously denounced by the CPU, the CNRS and other organizations representative of the academic world. Through these extremely serious attacks, the entire scientific community is targeted. It is not only the independence, transparency and quality of higher education and research that are called into question, it is also the place of the university in our society that is threatened.

You will find additional information in English and in French, including the message of the Comité National Français de Géographie (CNFG) at bottom of this message.

Kind regards,

Virginie Mamadouh (University of Amsterdam, The Netherlands) and Adriana Dorfman (UFRGS, Brazil)

Co-Chairs of the Commission on Political Geography of the International Geography Union.

Soutien aux recherches en Géographie féministe

Le CNFG a été alerté par les membres des Commissions de Géographie féministe et de Géographie critique des attaques récentes subies par l’une de leurs membres, notre collègue Rachele Borghi. Nous lui exprimons tout notre soutien et condamnons vigoureusement les entreprises de discrédit dont elle a fait l’objet pour des travaux scientifiques par ailleurs reconnus et validés par les pairs. Ce faisant, nous souhaitons également rappeler toute l’importance de la diversité des approches en géographie, dont le CNFG se fait le reflet à travers ses différentes commissions. Nous soulignons en particulier l’importance aujourd’hui de la géographie féministe, qui participe activement à l’écriture de la géographie contemporaine, et qui a permis d’apporter des perspectives et des méthodes nouvelles, dont la portée est désormais bien plus large que ce seul champ d’études.

Enfin, nous voulons exprimer notre inquiétude face à un climat dans lequel cette diversité est de plus en plus mise en cause dans le débat public par des attaques de différents ordres. Dans ce contexte, nous voudrions reprendre à notre compte les quelques principes de travail qui ont été rappelés par la motion du 8 mars 2021 de la section 39 du CNRS (https://bit.ly/3t6bEv5): « un principe de bienveillance vis-à-vis de toutes les démarches de recherche novatrices satisfaisant aux règles de la rigueur scientifique ; un principe de pluralité épistémologique s’opposant à toute forme de dogmatisme, fût-il scientifique ; et une exigence de réflexivité, qui nous paraît aujourd’hui plus que jamais essentielle à toute démarche de recherche ».

Soutien au laboratoire Pacte

18.03.2021
Soutien du CNFG au laboratoire Pacte et à sa directrice

Depuis près de deux semaines maintenant, le laboratoire Pacte à Grenoble et sa directrice font l’objet d’une campagne de harcèlement, d’intimidations, de menaces diverses, allant jusqu’à des menaces de mort, sur les réseaux sociaux. Ce type d’attaques, alimenté également par voie de presse, est non seulement une atteinte aux libertés académiques, qui supposent la possibilité d’échanges ouverts dans le cadre précis et rigoureux du dialogue universitaire, mais constitue également des actes extrêmement graves qui touchent directement à la sécurité même de nos collègues. Comme nous l’avons déjà souligné dans notre précédent communiqué du vendredi 12 mars, cette affaire s’inscrit dans un contexte plus général de tensions exacerbées autour des débats universitaires, qui font aujourd’hui l’objet d’interventions et de pressions inédites, sur le plan politique comme médiatique.

Dans ce cadre, le Comité National Français de Géographie souhaite donc d’abord adresser tout son soutien à l’équipe de Pacte, laboratoire pluridisciplinaire et pluraliste, dont la qualité du travail est reconnue tant au niveau national qu’international, et à notre collègue Anne-Laure Amilhat Szary, ancienne présidente de la Commission de Géographie politique et de Géopolitique et membre active du Comité, dont la probité et la valeur ne sont pas à prouver. Ensuite, nous exprimons à nouveau notre inquiétude sur les dérives actuelles, aggravées par les déclarations récentes de Mme Frédérique Vidal remettant profondément en question des champs entiers de recherches en sciences humaines et sociales.

En tant qu’association professionnelle regroupant des enseignant.es et des chercheur.es dans le champ de la géographie, nous appelons vivement à ce que des solutions soient trouvées pour rétablir des conditions de travail sereines pour l’ensemble des chercheurs. Celles-ci passeront nécessairement par la possibilité d’un dialogue libre et apaisé au sein de la communauté académique, que le ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche comme toutes les autres institutions universitaires et de la recherche se doivent de garantir.

Le bureau du CNFG

Quelle formation en épistémologie pour les futurs enseignants ?

« Quelle formation en épistémologie pour les futurs enseignants ? « 

Séminaire de la commission Histoire, épistémologie et didactique de la géographie »

Jeudi 18 mars 2021 14h à 16h

L’enseignement de l’épistémologie de la géographie figure dans les attendus du CAPES et dans les maquettes de Master MEEF depuis le début des années 2010. Il s’agit moins de transmettre une érudition encyclopédique que de rendre capables les futurs enseignants de penser l’enseignement de savoirs disciplinaires. L’enjeu est d’autant plus fort qu’une grande majorité des lauréats du concours sont historiens de formation (90% des lauréats actuels du CAPES d’histoire géographie). Quelle formation épistémologique proposée pour de futurs enseignants ? Quels contenus ? Quel volume horaire ? Quelles démarches déployées pour amener les étudiants à un regard distancié et critique concernant/vis-à-vis de la construction et de la transmission de savoirs géographiques, dans le contexte actuel de l’enseignement secondaire? ».

Ce séminaire était organisé autour des présentations de Camille Vergnaud et Laura Péaud de l’université de Grenoble et Valérie Deligniers de l’université de Rennes qui ont mises en débat ensuite.

 

Laura Péaud et Camille Vergnaud, enseignantes-chercheures, Université de Grenoble Alpes – Replay ici.

Pour les étudiant.es qui se destinent à l’enseignement de l’histoire et de la géographie, se former à l’histoire et à l’épistémologie de ces deux disciplines apparaît comme une étape essentielle de leur formation. D’une part, dans la mesure où les dernières réformes des Masters MEEF ancrent une exigence de réflexivité au cœur même des concours (épreuve d’ASP par exemple). D’autre part, parce que dans leur future mission professionnelle, ils.elles auront également à transmettre à leurs élèves un esprit critique, leur permettant à leur tour de s’interroger sur la construction et la véracité des savoirs scientifiques. Cette présentation vise ainsi à interroger la façon dont deux enseignantes-chercheures s’emparent dans leurs pratiques enseignantes, en traduisant sous forme de cours et de dispositifs pédagogiques des réflexions menées depuis leurs postures de recherche. Durant cette séance, nous nous proposons de discuter des enjeux de l’enseignement de l’épistémologie de la géographie auprès de deux publics : des L3 Histoire, dont une majorité aspire à devenir enseignant.es, et des M1 MEEF engagé.es dans la préparation du concours. Notre contribution s’appuiera sur des réflexions théoriques, mais aussi sur la présentation des contenus, formats et modalités pratiques de cours proposés à ces étudiant.es, que nous avons pensés à quatre mains et deux têtes.

 

Valérie Deligniers, enseignante-chercheure, université de Rennes – Replay ici.

L’enfant, l’espace et la géographie au premier degré

La construction du concept d’espace est un acquis indispensable pour tout élève et un préambule nécessaire à la géographie, identifiée officiellement à partir du cycle 3. Ce processus s’appuie à la fois sur les connaissances liées à l’évolution du développement psychologique de l’enfant et des savoirs géographiques. Ces apports scientifiques combinés permettent de proposer des contenus de programme faisant lien et donnant sens aux apprentissages. L’expérimentation, l’observation et le questionnement donneront à l’élève une clé de lecture et de compréhension du monde, en prenant appui d’abord sur son espace proche et personnel afin d’en faire un « être spatialisé » et un « habitant » éclairé, ensuite sur « l’ailleurs » en exerçant approche multiscalaire, décentration et éveil à la curiosité et à l’altérité. Ainsi, expériences et identité géographiques se forgeront progressivement en oscillant entre une géographie « spontanée », concrète, de terrain et une géographie plus « académique », mise en perspective et en lien avec les grands enjeux sociétaux contemporains, communs à d’autres disciplines.

 

Discussion :

A l’issue des deux présentations, la discussion s’est engagée avec les participants du séminaire. Le présent CR présente de manière synthétique les points saillants de la discussion.

Contexte institutionnel du cours : Pour enseigner la production matérielle des savoirs, il faut aussi s’interroger sur les conditions institutionnelles et matérielles qui façonnent nos cours (contenus, horaires, évaluation, etc.), y compris les maquettes. Cela implique de réfléchir aux articulations avec les stages dans les établissements scolaires que font les étudiants. Il y aussi des ponts à construire avec l’épistémologie de l’histoire qui pourrait être un levier pour entrer dans l’apprentissage de l’épistémologie en géographie. Les étudiants de L3 n’ont souvent pas eu d’épistémologie dans leur parcours.

La forme universitaire est problématique car en formation d’enseignant, cela peut générer des contradictions entre un discours magistral et l’injonction faite aux étudiants d’adopter des pédagogies actives. Par ailleurs, les pratiques innovantes peuvent rentrer en contradiction avec l’identité professionnelle des enseignants universitaires.

Quand les étudiants apprennent-ils à lire des articles scientifiques ? Que peuvent-ils faire du travail du chercheur ? Laura Péaud a constaté que les étudiants ne savent pas lire des articles scientifiques. Elle a proposé de travailler cela en cours de méthodologie. Elle a découpé un article que les étudiants ont du remettre dans l’ordre ce qui leur a permis de questionner l’écriture d’un article scientifique :  qu’est-ce qu’une introduction ? Qu’est ce qu’une méthodologie etc ?  etc. L’évaluation de ce type d’apprentissage pose problème.

Est-ce qu’amener les étudiants à l’épistémologie ne nécessite pas de bousculer les étudiants ? Est-ce que ce que les étudiants ont compris fait sens une fois sur le terrain ? Les deux présentations mettent en avant une même quête : celle de déclencher un déclic épistémologique pour modifier le rapport des étudiants au savoir. Valérie Delignière a témoigné que les étudiants reviennent de stage en soulignant le décalage entre la géographie telle qu’elle est enseignée sur le terrain d’une part et les programmes actuels d’autre part. Les manuels dans les écoles sont parfois très anciens et présentent une acception traditionnelle de la géographie. Cette situation met en porte-à-faux les étudiants et soulève la question de savoir quelle empreinte laisse un cours d’épistémologie sur les pratiques enseignants des étudiants en stage ou plus tard dans leur vie professionnelle. A ce titre, le fait de simuler un colloque (séance 1 de la progression MEED M1 SD) pourrait permettre aux étudiants de s’approprier la parole de géographes, et se projeter un peu plus comme enseignants de géographie.

Il y a un intérêt à rentrer par des questions épistémologiques plutôt que par l’histoire de la géographie. Cela permet de repolitiser le savoir géographique. L’intérêt est que les étudiants interrogent ensuite les savoirs avec leurs élèves.

Les deux présentations rejoignent les travaux menés sur la géographie expérientielle développée dans le monde anglo-saxon et en France dans les travaux du groupe Pensée spatiale sous l’égide de Caroline Leininger-Frézal.

Concours de l’AGF – Un Monde de Frontières 21 Janvier 2021

Un Monde de Frontières  – 23 Janvier 2021

09h30 – 12h30 / 14h – 18h
Institut de Géographie,191, rue Saint-Jacques – 75005 – Paris (Grand Amphi) –
En fonction de l’évolution sanitaire, la séance aura lieu en présentiel, en présentiel et en distanciel (selon la jauge autorisée), ou en distanciel (Zoom).
L’information sera diffusée par l’AGF (Association de Géographes Français), le coordinateur de la journée, le Professeur Bernard REITEL, par les collègues responsables des concours sur Paris, par les intervenants, par le réseau Géotamtam, ainsi que par les Laboratoires et Universités partenaires de cet événement.

La frontière a longtemps été considérée comme l’apanage exclusif des États, dessinant un ordre mondial basé sur la juxtaposition de territoires nationaux dont la limite soulignait la souveraineté. Cette vision de la frontière westphalienne que la géographie a longtemps véhiculée, est cependant partiellement remise en cause par l’émergence de nombreux acteurs au sein de la mondialisation, économiques notamment, qui sont, à leurs échelles, de puissants producteurs de normes et de frontières. Deux logiques territoriales semblent être présentes à l’échelle du monde, l’une issue d’une géographie des flux et de la circulation (geography of flows), l’autre, provenant de la géographie des lieux (geography of places). Tout en se distinguant, les deux logiques semblent s’enchevêtrer et s’entremêler plus qu’elles ne se juxtaposent, induisant des changements qui sont d’autant plus perceptibles que les moyens de contrôles sophistiqués élaborés grâce aux technologies de sécurité, assurent une sélection élaborée des flux.
L’objectif de cette séance de l’AGF est d’analyser les frontières comme des objets paradoxaux en interrogeant leurs dimensions politiques et spatiales et en les considérant tout à la fois comme des objets, des dispositifs et des symboles. Trois pistes sont ainsi ouvertes. Une première question porte sur les régimes des frontières et des changements de territorialités qui se dessinent à l’échelle du monde. Une deuxième orientation part de l’hypothèse que l’intégration régionale n’est pas sans effet sur les processus de « frontiérisation » et que plusieurs modèles semblent fonctionner dans les différentes régions du monde. Enfin, une troisième piste souhaite étudier la dimension locale de la frontière en interrogeant les pratiques. A travers ces différents regards, la frontière est appréhendée à la fois comme un révélateur de tensions et de dynamiques territoriales, mais aussi comme une ressource et un objet de coopération.

Télécharger le programme au format pdf

Coordonnateur :
Bernard REITEL bernard.reitel@univ-artois.fr
Professeur des Universités en géographie, Université d’Artois Unité de Recherche 2468 « Discontinuités »
Avec la participation des laboratoires :
Discontinuités, Université d’Artois ; PACTES, Université de Grenoble-Alpes ; CIREL, Université de Lille ; LOTERR, Université de Lorraine ; CESSMA, Université Paris Diderot ; HABITER, Université de Reims-Champagne-Ardenne ; Dyname, Université de Strasbourg ; Luxembourg Institute of Socio-Economic Research ; Mission Opérationnelle Transfrontalière.

Inscription aux Olympiades Nationales de Géographie

Olympiades Nationales de Géographie

Les inscriptions aux Olympiades nationales de géographie 2020-2021 sont ouvertes du 20 novembre 2020 au 31 janvier 2021.

Elles doivent être complétées par l’inscription, qui reste distincte, au concours général de géographie (attention, les inscriptions au concours général se closent le 5 décembre 2020).

Les professeurs inscrivent leurs élèves candidats en complétant et renvoyant le formulaire téléchargeable ci-dessous :
Télécharger le fichier excel

Ils trouveront des éléments complémentaires et des ressources facilitant l’organisation des épreuves dans leur établissement sur le site internet dédié aux olympiades

http://www.cnfg.fr/olympiades-de-geographie/

ou auprès du correspondant du concours dans les académies (liste dans FAQ et documentation).